Je nous vois danser sur fil

Liés par un lien qui n’existe que dans nos yeux

Les pas de valse au rythme de nos battements de cœurs

Les pas de valse sur un rythme n’existant que pour nous deux

Soupirant comme des enfants fatigués

Le souffle chaud autour de nous

Ma tête doucement contre la tienne

Ne tient plus que parce qu’elle croit t’aimer

Et ton visage contre le mien

Ne sourit que parce qu’il est persuadé de me connaître

Le destin lui seul sait ce qu’il peut nous arriver

Mais le vent ne gagne pas face aux tempêtes

Et le soleil cette fois ne peut plus rien réparer

Car même le plus grand mur de notre jardin s’est effondré